À propos
C'est de là que ça part !
Il était une fois, deux jeunes comédiens nommés Gilles et Laurence qui tombèrent fous amoureux en jouant soir après soir les personnages d’Horace et Agnès dans la pièce de théâtre « l’école des femmes » de Molière.
De cet amour sont nés 2 petits démons et 1 ange (jugez-en par vous-même).
Puis, ça a continué par là...
Ainsi naquit, un jeudi 17 novembre 1988 à Paris, Judith Gerardin, future captrice d’émotions et raconteuse d’histoires enchanteresses. Mais pour en arriver là… il a fallu passer par d’autres vies. Comme pas mal de petites filles, mon premier destin était celui d’une star.
Mon avenir dans la chanson pop fut coupé court après ma première et dernière représentation scénique à mon spectacle de fin d’année en 6eme. Résignée, me voilà lancée dans une quête effrénée de ma personne. Un coup assistante vétérinaire, un coup fermière, un coup esthéticienne, un coup chef de projet évènementiel, c’est finalement en réalisant mon premier court métrage que j’ai une épiphanie.
Et ça a fini comme ça
Et finalement, d’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu une caméra à la main. Dans mon enfance, l’énorme caméra à l’épaule de mon père qui faisait 3 fois ma taille et 3 fois mon poids. A l’adolescence, la petite caméra VHS que je m’étais offerte avec mes économies puis mon premier boitier Canon 650D et enfin mes sony qui m’accompagnent dans tous mes projets aujourd’hui.
100% autodidacte, je ne compte plus le nombre d’heures que j’ai passées sur Youtube pour apprendre à manier mes boitiers, orchestrer mes montages sur première et retoucher mes photos sur Lightroom.
Le nombre d’heures également passées à tanner mes amis pour me servir de modèles, certains se prêtant volontiers au jeu, d’autres rechignant à la tâche. Parce que moi, c’est l’humain qui m’anime voyez-vous. Mon intérêt pour l’humain est sans frontières, ça c’est une certitude.
Je tends perpétuellement à une vérité (la mienne, la vôtre, la leur) et dans cette dynamique, je traque à travers mes images une évidence indiscutable.
Ce qui m’anime ? Le voyage, le défi, la rencontre.
Et quand je ne filme pas ? Je filme.
3 faits inutiles sur moi
Je fais de l’hétérochromie. Kézako? J’ai les yeux de couleurs différentes. C’est léger mais au soleil, vous le remarquerez.
J’ai la double nationalité franco-australienne.